31.10.06

Mineur de fond

Quelqu'un avait vu ça ?
En tous cas, avec le recul c'était pas si mal. De les voir à travers les photos de quelqu'un d'autre c'est assez plaisant.

Composé par londoncalling @ 5:48 PM :: (1) comments

Oh Mon Dieu ! C'est plein de Code !

“…and these fonts that we draw
do they mean anyhow
to the people we're designing them to
Yes, they do ?”


À l'instar de Jean-Louis Calvet, qui maîtrise parfaitement le Chinois, ça fait deux jours que je planche sur Python.
On ne remerciera jamais assez ces deux-là, notamment pour ça
, encore faut-il avoir le TEMPS pour bien l'implémenter dans son cerveau.

J'ai tout juste réussi à appliquer les scripts de base pour faire des effets ben voilà quoi j'ai un peu réfléchi à la randomisation mais le résultat est assez sec vu qu'il randomise pas du tout mais alterne différents sets de lettres.


Voilà c'est tout pour aujourd'hui !
Dédicace à Maat !

Composé par londoncalling @ 1:09 PM :: (1) comments

30.10.06

Tao, Zia : Alerte.

Un typographe célèbre s'est caché parmi ces Gogotypers, saurez-vous le retrouver ?

Y aurait-il un Gogotype BUZZ dans l'air ?

Composé par londoncalling @ 3:18 PM :: (12) comments

28.10.06

Sur un air de Carter


Cher Gogotype, je vous prie de m'excuser pour cette interruption momentanée de votre programme tout choco. Post flash (gros flash de 45 minutes) typo-radio-hydroponique, pour ceux que ça intéresserait...

C'est bon le programme peut reprendre...
Quelqu'un peut me rappeler la composition de ce monstre truc (c-a-dire je veux parler du gâteau)...

Composé par yohanna @ 10:35 PM :: (11) comments

26.10.06

(Appel à témoins.) Merci.


Je veux voir ici la photo d'un homme et d'un gâteau au chocolat, ainsi qu'un petit compte rendu iconographié de la boumette d'hier soir (la boumette, pas la méga teuf d'après hein).
Merci.


Merci Jonathan.

Composé par londoncalling @ 11:37 AM :: (7) comments

24.10.06

Cadeau Bonus/x.


Ils étaient anonymes mais ils étaient bien là.

Composé par londoncalling @ 10:56 PM :: (3) comments

Super Tuesday



Dure journée, vu qu'on a pas eu anglais.
A force de parler post-modernisme j'ai fait mon Carson aujourd'hui, je sais pas si Jean-Louis va aimer.
Comme tout ça n'est pas très interessant on pourrait parler de : ça ou de ça.

Composé par londoncalling @ 9:40 PM :: (4) comments

21.10.06

Arte Typographica



En ce moment sur Arte, une belle fresque historique (si toutefois vous aimez le genre, surtout celui des reconstitution genre documentaire allemand) retrançant le trajet de Peter Lambeck préfet de Léopold Ier de Habsbourg qui fut chargé de transporter les perles de la collection de la Bibliothèque du château d'Ambras jusqu'à Vienne.
Bibles Enluminées transportées à bras le corps par le vaillant Lambeck, trahi par ses hommes et fatigué du long voyage dans l'hiver autrichien.
Mais que va-t-il advenir de ces merveilleux ouvrages ?

Composé par londoncalling @ 9:28 PM :: (3) comments

Graphistes en revue et typographes en vadrouille.


Voilà une bien chouette conférence.


Hier soir, nous étions conviés à assister à la conférence-débat (?!) 'Graphisme en Revue' avec Philippe Apeloig en tête d'affiche et Frédéric Teschner en jeune premier.
Un monsieur très déprimé nous a annoncéce qu'allait être la conférence, qu'il connaissait bien Philippe Apeloig et, d'un air désabusé, nous annonça que les conférences 'Graphisme en Revue' n'auront plus cours pour la saison 2007. On trouvera à la place des cycles de conférence 'pluri-discplinaires' à l'occasion des 30 ans du Centre Pompidou. Au programme, Renzo Piano et Bruce Rodgers, Wim Crouwel (le 25 avril 2007 - Yohanna pense qu'il sera mort avant, mais bon, nous verrons bien), et apparemment pas de Jean Widmer ?
Voilà.
Alors évidemment on commence pas tout de suite par M. Apeloig, suspense oblige. On laisse un peu parler l'ami Teschner et de son travail pour l'identité visuelle des journées du patrimoine à la Valette-du-Var. Bon, je sais pas si vous connaissez La Valette, moi j'ai un ami qui connait bien et ma foi c'est assez rigolo d'imaginer ça au cimetière de La Valette. D'ailleurs Philippe Apeloig a dit "c'est rigolo".
Moi j'ai bien aimé, les panels de formes mystérieux qui se retrouvaient précieusement par terre, son petit caractère aussi, une sorte de Cholla Slab dont les fûts étaient découpé en deux en dégradé entre le Stencil et l'ornementation 'à la Fournier' (non, non ce n'est pas une obsession).
Mais quelque chose de plus intéressant a été dit à ce moment précis. Etienne Hervy précisa qu'il était interessant de remarquer 'ces jeunes graphistes qui prennent la peine de dessiner un caractère pour leurs projets', 'les outils de création typographiques étant plus accessibles aujourd'hui'. Cette phrase, malgré le côté sympathique des caractères dont il était question, me plongea dans des abîmes de réflexion. Partagée entre la satisfaction que la chose typographique soit considérée à juste titre et je ne sais pas trop quoi. A vous de me dire ce que vous en pensez chers amis.
Poursuivons.
Ah oui, à un moment l'exposition au Musée de la Publicité 'Une histoire en image' à été évoquée. Evidemment M. Hervy a voulu mettre le doigt ou ça fait mal (la politique d'exposition de ce musée, son nom même, le choix des œuvres, leur présentation), tout le monde a dit 'oui, oui'. D'ailleurs Philippe a dit 'oui, oui'. En termes de 'jeune' on aurait dit : ça balançait grave !
On a parlé aussi de l'expo 80+80 à la Galerie Anatome, et au vu (oui c'est 80 photographes de l'agence VU' et 80 graphistes) des résultats c'est pas bien fameux.
Après ce passage en revue, un peu déprimant de ce qui se passe en France, je commençais à rejoindre l'état dépressif du monsieur en chemise rayée. Bref.
Bon philippe Apeloig, vous connaissez, on connaissait, ben on a connu.
C'est marrant, Yohanna me faisait remarquer que tous les élèves de Rudi Meyer parlaient de la même façon. C'est vrai que la douceur et la nonchalence du ton est très similaire entre Philippe Apeloig et Philippe Millot par exemple.
Apeloig nous présentait avec un humour contenu ses travaux, du Châtelet, à l'IUAV et à bien d'autres encore. M. Apeloig fait bien son travail. M. Apeloig fait bien son travail, mais M.Hervy l'a un peu cherché sur l'affaire 'logo'. Ah le logo, on voudrait l'éradiquer de la planète, mais comme disait un de mes profs préférés, 'le logo, en principe il n'est jamais assez gros''.
Concernant Etienne Hervy, je ne l'ai pas trouvé si désagréable que ça. En fait à le voir en direct énoncer ses points de vue, j'ai trouvé une part d'humanité touchante, que je ne ressentais pas auparavant à la lecture de ses divers articles dans le magazine Etapes.
Tant de débats auraient pu être soulevés ce soir là, mais la lassitude ambiante a fait que nous sommes passés outre. Bien sûr il n'y avait pas le temps, ni trop l'envie. Désabusés, un peu comme le monsieur à la chemise rayée.
Alors comme on s'y attendait, comme d'habitude on ne savait pas trop comment prononcer Pierre di Sciullo (un beau 'Pierre Dichoulow' a été tenté), ni comment boire son eau dans ce mini verre en plastique (Philippe Apeloig a tenté à deux mains), finalement on était d'accord et on a dit 'oui, oui' avec une furieuse envie d'aller se coucher.
J'aurais pu vous parler de l'affaire Jean-Marc Ballée, mais l'ami Teschner a bien résumé la situation, c'est ça les jeunes, ils pensent un peu plus rapidment et avec plus de conscision.
Ah si on a un peu parlé de White Cube, l'exposition de Peter Bil'ak à Brno. Mais pas plus que ça. Je reste assez fascinée par cet être polymorphe qui un jour semble être le genre typographe pointilleux, ou geek, ou jeune, et parfois est si inattendu quand il sort Dot Dot Dot ou cette exposition. Il rigole pas mal aussi quand on parle avec lui à la terasse d'un café, mais se sent un peu obligé en situation de représentation, même si Johanna a très froid (qui se souvient encore de ces petites oreilles de chat ?).

Après tant d'émotions nos amis le Gogotype était bien fatigué.

Bref, tout ça nous avait épuisés mentalement.
Que dire du reste de la soirée, entre Intégral et Associés nous nous sentions un peu obligés. Une certaine E.K. en toute gentillesse nous avait conviés à une petite after qui s'est terminée tôt pour certains et tard pour d'autres (pour paraphraser le poète). Situation ambiguë entre nous et par rapport à eux nous nous en sommes, finalement, bien sortis.

Composé par londoncalling @ 3:03 PM :: (7) comments

20.10.06

Musique de racailles

Composé par Mathieu @ 2:58 PM :: (8) comments

16.10.06

Who is our déléguée ?



C'est bien simple, c'est une personne remarquable, qui même dans les moments les plus durs - comme ceux que nous vivons actuellement, vous l'aurez compris - joue toujours la carte de l'humour...
Et en plus, elle est bilingue...

Composé par yohanna @ 1:36 AM :: (18) comments

14.10.06

Trou de Mémoire


En me baladant cet après midi, devant une librairie, je me suis soudainement rappelé que j'avais quelque chose à faire ce week-end. Quelqu'un peut-il me rafraîchir le mémoire ?

Composé par londoncalling @ 3:44 PM :: (7) comments

Who's who

Mais c'est qui le DSAA CT bon sang de bonsoir ?
C'est à vous de reconnaître qui est qui dans cette galaxie tout à fait typographique.

Composé par londoncalling @ 3:40 PM :: (15) comments

11.10.06

Européen, imaginaire, de luxe.




Toute personne qui a fréquenté l'école Estienne sera certainement d'accord avec moi, les meilleures anecdotes sont celles liées aux nombreuses rixes entre nous, élèves (ou ex-) et le concierge dans le fameux continuum espace-temps 19h-19h20.
Et ce soir, Mathieu, Yohanna et moi-même (qui a dit : 'toujours les mêmes' ?) n'y avons pas échappé.
J'avais déjà prévenu Mathieu, il est dix-neuf heures bientôt, je monte avec Yohanna faire des adieux nicotine, je descends et on se barre.
Après quelques envolées sur Borges et l'architecture, je descendais chercher mon camarade de classe, qui, comme vous vous y attendez bien-sûr, était - encore à ce moment là - occupé à scanner les calques d'une obscure gothique (et quand je dis obscure, je parle de sa 'laidback-weight' et pas de son allure globale, qui, ma foi, est assez chouette).
Oh, j'oubliais ! Nous avions déjà croisé le concierge une fois. Allez, allez, c'est l'heure d'y aller. L'habitude de cette phrase qui vous vient automatique à l'esprit vers 18h59 me l'avait fait l'oublier.
Avec Mathieu, nous profitions de ces quelques minutes de répit (entre 19h17 et 19h20) pour gloser ensemble de choses et d'autres, de nous demander s'il fallait 'vectoriser un m à la Jalleau' ou non, s'il fallait écrire un mail à M. Martin - ou non, et j'oublie certainement les parties les meilleures.
19h20, un peu à la X-Files, vous savez. 19h20, salle E-130c, école Estienne. Les lumières s'éteignent peu à peu, des pas retentissent dans le couloir. C'est lui, Gabriel, l'inimitable, il va nous virer. Il a cette habitude fascinante à observer de rentrer dans la salle comme si de rien n'était, ou plutôt, plus justement encore, comme si personne n'y était. Et en tournant la tête sciemment vers les derniers occupants de la scène du crime à lui de nous dire d'un air désabusé : 'Allez, allez c'est l'heure', sans réellement s'adresser à nous, mais plutôt à l'air ambiant, celui des règles de l'école sont les mêmes pour tout le monde, et que ça saute.
Paquetant en hâte nos affaires, nous nous engagions vers la sortie, en parlant, un peu en réponse désinvolte à l'anecdote précédente, comme si de rien n'était, comme deux employés de bureau qui savaient qu'à 19h20 la vie reprenait son cours. Alors tu prends le 67 ce soir ? Oui, oui je prends le bus avec toi, au fait t'as fait quoi pour demain, hey ça va être dur de se lever demain matin, oh m'en parle pas. Mais vous ne connaissez que trop cette situation, à tel point que je ne sais pas pourquoi je m'attarde sur le sujet.
Mais peut-être cette image vous est moins commune. Estienne, la nuit. Le regard de Robert Estienne s'est assombri, les jeunes éphèbes imprimeurs qui l'entourent rient sous cape. La cour se teinte d'un bleu sombre, seule la lumière blafarde de la bibliothèque lui donne un peu de chaleur. On monte doucement les escaliers qui montent dans le hall d'entrée, papotant gaiement, toujours de la même façon.
La chose que nous attendions pas cette soirée-là, c'est ce petit homme, aux cheveux grisonnants, vêtu d'un costume de laine vert bouteille de bonne facture, une chaînette à ses lunettes.
'Venez, venez'
Surprise par cette rencontre, je crois que je ne remarquai, avec de longues secondes de décalage, ses bras s'agiter et nous inviter vers l'autre côté du hall.
Situation encore plus inhabituelle, lorsque nous nous aperçûmes, Mathieu et moi, des cols blancs et des coupes de champagnes se mouvoir dans un flou propore à l'incompréhension.
Les Cadrats d'Or (européens), comment aurions nous pu oublier ça ?
Ou tout simplement, être au courant.
Situation surréaliste, digne d'un scénariste amoureux des scènes miroir. A tout ceux qui ont connu les restrictions de pizza froide, les réprimandes parce que VOUS êtes des pique-assiette, des brimades parce que vous vouliez juste profiter de la chaleur du moment et d'accéder avec modération à une tranche de salami sur pain de moi. A tout ceux-là, je crie victoire.
Ecoutez, chers amis, ces mots délicieux qui résonnèrent dans nos oreilles craintives. Venez manger, vous n'avez pas des collègues appelez-les, venez, venez, posez vos sacs ici, oui, là, si on vous les vole on les rattrappe, ne vous inquiétez pas, venez, prenez un verre, mangez encore, oui, oui c'est cela, regardez, prenez une brochette encore, allez cassez la croûte, ce soir vous verrrez, vous n'aurez pas à manger.
Mais plus encore. Devant nos yeux ébahis, une farandole d'amuse-bouche, de verrines aux couleurs chatoyantes, de brochettes de petits pickles luxueux, des mille-feuille de jambon cru et fromage dignes d'un des plus grands M.O.F. féru de design culinaire. J'oubliais les petits œufs cocotte, tomate ou fines herbes à déguster, bien entendu, avec des mini-cuiller/fourchettes.
Vous êtes épatés ? Vous n'avez rien vu.
Déjà sous le choc, une coupe de champagne à la main, Mathieu et moi en avions presque oublié de regarder ce qui se trouvait derrière nous. Le sucré. Des macarons frais, des petites pâtisseries et d'autres verrines aux couleurs chamarrées, framboise et citron.
Une bouteille de champagne arrosa l'équipe du service, fontaine luxueuse ponctuée de 'C'est la fête', 'Oui, c'est la fête', 'Oh c'est la fête' de dames en tailleur rose pâle et de messieurs en costume gris.
La situation était édenique, quoiqu'un peu embarrassante puisque nous ne connaissions absolument personne dans le petit comité qui se délectait de cette fine dégustation.
Deux visages connus surgirent à ce moment.
Un Kirghize et un américain. Vous voyez de qui je parle.
Eux-même étonnés de la situation. Profitant également avec joie de ce festin impromptu.
La deuxième coupe de champagne, fût justifiée par 'après tout je suis imprimeur'. Après tout, oui nous faisons un peu partie du lot.
Evidemment, à l'arrivée de nos deux zigues préférés du LEG, un débat agité fut entamé sur la qualité des travaux sélectionnés par le jury du Cadrat d'Or (européen). Mais trop occupée à chiper quelque macaron rose pour une certaine Gwen, je ne m'y attardai guère.
Tout le monde en profita allègrement. Le concierge eût droit à son plateau repas (de luxe), ainsi que la femme du petit homme en veste verte de tout à l'heure. Non chérie ne fais rien réchauffer ce soir, je te rapporte tout. Les petits fours emballés à la va-vite dans des emballages de ramette de papier (eh oui Cadrat d'Or oblige) partaient pour une toute autre destination afin de ne pas gâcher.
Contents de cette soirée pour le moins inattendue, nous emboitions le pas vers nos foyers respectifs, tentant de dire un au revoir correct à nos charmants professeurs (trop emballés par le débat dont je vous faisait part plus haut dans le texte ).
La soirée n'avait pas été réussie pour tout le monde, sur le chemin du retour, une voiture modeste arborait un magnifique reflet de Johnny Halliday. Un automobiliste changeait son pneu crevé.

Composé par londoncalling @ 8:55 PM :: (8) comments

mom and pop are a happy pair

On n'a pas encore de roman photo sur Lure, mais on a ça, et c'est Dominique Monod qui va être jalouse :



(un clic pour agrandir)
as if I didn't have enough on my mind, je vous laisse j'ai rapport de stage d'anglais.

Composé par claire @ 6:27 PM :: (2) comments

10.10.06

Easy like a tuesday morning


Bon puisque Thierry Amiel se fait écrire des chansons par Daniel Darc et que Matt Pokora s'engage en politique (si, si lisez bien le texte en intro), j'ai décidé moi aussi de dire tout fort que je n'ai rien à dire.

Bon je vous laisse, j'ai contrôle d'anglais.

Composé par londoncalling @ 12:00 PM :: (11) comments

7.10.06

IMEC IMEC

Bon, j'aurais bien aimé faire de la prose mais j'ai pas l'temps, mon esprit glisse ailleurs, vous ne connaissez que trop cette blague très chers amis.
C'est déjà loin, mais ce fut un voyage rêvé, une famille en vacances.
On a (beaucoup) ri, parlé aussi. Vu de belles choses, un moment incroyable.


Une équipe pédagogique impliquée,


des jeux idiots,


une vision en hauteur,


un contact permanent avec la Nature,


un ancrage fort dans la culture,


une connaissance architecturale affûtée,



un goût pour les bibliothèques prononcé,


des expériences plus ou moins ratées,






des formes typographiques novatrices,



un humour aiguisé,


une famille au grand complet,
un certain penchant pour l'austérité,


une journée ensoleillée,


des blagueurs invétérés,


c'est ça le DSAA CT.

Composé par londoncalling @ 5:21 PM :: (5) comments

3.10.06

Le Lundi juste avant que faisions-nous déjà ?



Voilà, l'APS est passé, plus qu'une lettre à changer pour une étape plus dure encore. Lure et l'IMEC sont déjà loin, les prises de tête sont à venir, mais tant pis, on rigole quand même en DSAA CT. Joie de vivre au rendez-vous.
Bon, je vous laisse, j'ai cours d'anglais.

Composé par londoncalling @ 12:57 PM :: (6) comments

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Isn't it cool?
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