29.11.07
Viva Sandberg
Hier soir, nous étions bien au chaud (non je déconne, trois personnes sont mortes de froid hier, j'en parle un peu plus loin) à l'exposition du typo-graphico-directeur-nœud papillonesque Sandberg à l'Institut Néerlandais.
Ça commençait plutôt bien, j'étais en retard. Dans le 63 quelqu'un tenait à peu près ce discours : «Non mais maintenant c'est 100 euros de péage pour aller à Courchevel, ça devient vraiment n'importe quoi !» (c'est une dédicace aux nombreux trajets pour aller au musée Guimet avec mes collègues Mathieu, Jonathan et Valentine : ils comprendront, ou pas.). Ah ben forcément ma bonne dame, un vernissage dans le VIIe ça bouleverse un peu au début.
Bref.
Il faut dire que le lieu est beau, des ascenseurs en porcelaine, du vin classe (mais pas de cacahuètes, ni de chips, moi aussi j'ai regretté), des VIP (Wim et Catherine de Smet entre —plein d'— autres). J'ai retrouvé Clémence et Sophie, pour commencer un verre, puis l'expo.
C'est troublant de s'apercevoir à quel point le travail de Sandberg mêle en toute harmonie simplicité et fantaisie. Les lettres dansent joyeusement sur un papier vivant, c'est coloré avec justesse et calibré au millimètre ! En faisant le tour des salles consacrées au travail typo/graphique de Sandberg, Clémence et moi avons repéré quelques noms peu connus apparemment exposés il ya longtemps dans un obscur musée de Hollande.
Comme on est un peu bêtes, on a pris des photos un peu tartes mais qui vous raviront les pupilles par tant de finesse humoristique.
Parmi les visiteurs, nous n'étions pas les seuls contents, non. Un certain É....... R..... a acheté pour 400 euros de Sandberg. Il y avait de délicieux originaux en vente (à bon prix pour certains, un peu chers pour d'autres), directement importés des «restes» du Stedelijk Museum («On savait pas que ça allait interesser les gens» m'a confié la personne qui se chargeait de la caisse, «Ah, si nous sommes collectionneurs de graphisme» a répondu l'autre à côté de moi).
Plus tard nous avons fini ce début de soirée (à ne pas confondre avec fin de party), avec plein de gens qu'on aime : Benjamin, Julien, Sandra, Sébou, Klee. Tous contents de discuter un peu de tout et de rien (du LEG, des pinguouins, de cookies et tutti quanti) dans un froid mordant mais réchauffé par l'ambiance sympathique du petit groupe.
Conclusion : J'ai acheté un catalogue et attrappé très froid, mais je suis contente.
Ça commençait plutôt bien, j'étais en retard. Dans le 63 quelqu'un tenait à peu près ce discours : «Non mais maintenant c'est 100 euros de péage pour aller à Courchevel, ça devient vraiment n'importe quoi !» (c'est une dédicace aux nombreux trajets pour aller au musée Guimet avec mes collègues Mathieu, Jonathan et Valentine : ils comprendront, ou pas.). Ah ben forcément ma bonne dame, un vernissage dans le VIIe ça bouleverse un peu au début.
Bref.
Le gogotype toujours au top pour la People Touch.
Si je vous jure il y a Wim Crouwel au fond à gauche.
Le monsieur devant doit être important
(pour porter un manteau en vinyl il faut être important),
mais je sais pas qui c'est.
Il y avait Willem aussi et Malte mais j'ai pas réussi
à les prendre en photo.
Voilà c'est tout,
ceci est la légende la plus longue du monde.
Si je vous jure il y a Wim Crouwel au fond à gauche.
Le monsieur devant doit être important
(pour porter un manteau en vinyl il faut être important),
mais je sais pas qui c'est.
Il y avait Willem aussi et Malte mais j'ai pas réussi
à les prendre en photo.
Voilà c'est tout,
ceci est la légende la plus longue du monde.
Il faut dire que le lieu est beau, des ascenseurs en porcelaine, du vin classe (mais pas de cacahuètes, ni de chips, moi aussi j'ai regretté), des VIP (Wim et Catherine de Smet entre —plein d'— autres). J'ai retrouvé Clémence et Sophie, pour commencer un verre, puis l'expo.
C'est troublant de s'apercevoir à quel point le travail de Sandberg mêle en toute harmonie simplicité et fantaisie. Les lettres dansent joyeusement sur un papier vivant, c'est coloré avec justesse et calibré au millimètre ! En faisant le tour des salles consacrées au travail typo/graphique de Sandberg, Clémence et moi avons repéré quelques noms peu connus apparemment exposés il ya longtemps dans un obscur musée de Hollande.
Comme on est un peu bêtes, on a pris des photos un peu tartes mais qui vous raviront les pupilles par tant de finesse humoristique.
Parmi les visiteurs, nous n'étions pas les seuls contents, non. Un certain É....... R..... a acheté pour 400 euros de Sandberg. Il y avait de délicieux originaux en vente (à bon prix pour certains, un peu chers pour d'autres), directement importés des «restes» du Stedelijk Museum («On savait pas que ça allait interesser les gens» m'a confié la personne qui se chargeait de la caisse, «Ah, si nous sommes collectionneurs de graphisme» a répondu l'autre à côté de moi).
Plus tard nous avons fini ce début de soirée (à ne pas confondre avec fin de party), avec plein de gens qu'on aime : Benjamin, Julien, Sandra, Sébou, Klee. Tous contents de discuter un peu de tout et de rien (du LEG, des pinguouins, de cookies et tutti quanti) dans un froid mordant mais réchauffé par l'ambiance sympathique du petit groupe.
Conclusion : J'ai acheté un catalogue et attrappé très froid, mais je suis contente.
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J'ai compris. Si ça continue j'anule courch' on passera les fêtes ailleur en province.
Sympa, je suis toujours pas malade, je crois je suis une super-hérote. Beau compte rendu (a part les photos tartes).
Un nouveau sondage! Un nouveau sondage! Un nouveau sondage! Un nouveau sondage! Un nouveau sondage! Un nouveau sondage! Un nouveau sondage!
je vais pleurer de mignoneté