23.7.08

Type Bits In Lisboa


Hop une petite Caldeirada typographique rien que pour vous.



Ça c'est pour la blague.



Ça c'est pour le style.



Ça c'est pour le cute.

*
**


Sinon côté news,
la troisième fournée des Great Ideas est très,
ahem,
verte.



*
**

Bon,
je suis sûre que vous l'avez déjà tous vue,
mais bon.


Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.

Composé par Pauline @ 11:00 AM :: (15) comments

11.7.08

ultra light

On parle de typo sur écrans, c'est déjà assez improbable pour le noter.



Heureusement que Spiky, ses charmants d et son humour sont là.

Du coup j'ai cherché des images, et j'ai trouvé ça (émotion et nostalgie) et ça (peur).

Composé par claire @ 12:05 AM :: (6) comments

4.7.08

Mathéiou, Graphic Designer.

Mathieu, Graphiste.

THE JOKE



Il y a un an déjà, nous y étions également.

D'ailleurs on possède une photo off.

Bon j'étais déjà pas dans mon état normal quand
j'ai pris la photo
de la photo
officielle
.

Autre Blague.



Composé par Pauline @ 2:28 PM :: (6) comments

3.7.08

Le champ du signe

Il y a quelques mois déjà, je suis tombée sur les nouvelles couvertures de la collection Champs Flammarion : redesign opéré par deValence à l'occasion les 30 ans de la collection.

Champs, c'est jaune, noir et rouge, la densité du gris intérieur fait un peu peur au prime abord, mais c'est un challenge intellectuel intéressant. C'est une masse de savoir qu'il faut tenter d'approcher au moins une fois dans sa vie, qui au pire restera dans votre bibliothèque et épatera vos amis lors d'une soirée PS2.

Chez nous, on en trouve au moins deux exemplaires.
À toi de trouver, qui se la pète en lisant lequel.

Nous les Gogotypers, il y en a au moins un qu'on a lu ou tenté de lire : c'est l'opus d'Anne-Marie Christin, qui sous son De Chirico énigmatique nous promettait de nous délivrer tous les secrets enfouis dans le naos sacré de la divine Typographie. Alors on se revoit, ou peut-être pas, deux mois avant le diplôme, entrain de décrypter le texte, en émettant de sérieux doutes sur le nombre de lectures qu'il a fallu pour comprendre une phrase, en était cependant ravi d'avoir accès à des choses si savantes.

Justement, c'est ça cette collection. Un concentré de savoir, un pavé référent, qui par ses atours s'identifie comme tel. Et c'est ce qui me chagrine dans cette nouvelle présentation de l'objet.
Évidemment, la collection avait besoin de marquer son passage vers les temps nouveaux et de s'offrir au lecteur, après 30 ans de bons et loyaux services, comme une solide référence consciente du monde contemporain.



Hop un petit coup de frais chez Flammarion.
Champs Histoire se fond dans le jaune, et Champs actuel plus cash et détouré.


Je pense que la collection souffrait d'une image vieillie, et nécessitait un tuteur typographique plus solide : la couverture était jusque là composée avec un caractère transitionnel que j'identifie comme du Baskerville, peu importe la version, d'ailleurs, puisqu'au fil du temps on voit que plusieurs moutures ont été utilisées. Les nouvelles couvertures gardent, en partie, cette forme de caractère, qui me semble essentielle, car elle évoque (bon, ok, pour les initiés principalement) les temps encyclopédiques du savoir imprimé.
Le duo contemporain/ancien joue entre la conservation du Baskerville et l'arrivée d'un monochasse trendy (Hermes), entre le jeu de couleurs originel et l'agencement nouveau des images, qui dit très bien que c'est la même chose mais plus tout à fait pareil.

Cependant, il reste quelque chose d'absent, comme une saveur en moins dans cette nouvelle configuration. Un je-ne-sais-quoi qui manque, qui me manque pour trouver toujours aussi attirante cette collection historique. Je crois qu'il ne s'agit pas des choix des nouveaux éléments en couverture, mais de l'agencement de ceux-ci.
Je crois que ce qui faisait dire à Champs Flammarion que ses livres portaient en eux des idées, des savoirs (savants), c'était la permanence de la composition centrée. Les anciennes couvertures s'offraient au regard comme de véritables tableaux, transportant le livre dans un champ autre, celui de l'inscription.

Un Duby (oui je reviens à lui, mais on peut lire Alain, Hawkins ou Derrida), n'était pas important parce qu'il était en corps 94 sur la couverture, mais bien parce qu'il régnait, centré, en haut de la couverture, et se lisait non plus comme un nom, mais comme un signe qui me troublait l'œil et me confiait le temps d'un regard toute l'importance du contenu du livre.

Un presque-rien qui me manque, à moi. À vous ?


***

Pour finir, plus léger mais dans le même sujet, une série de livres trouvés par hasard chez Eyrolles. Les couvertures m'avaient tapé dans l'œil, et j'en avais acheté 6 en pariant que mon cher et tendre serait intéressé par le contenu que moi (le How To Calculate Quickly n'y a rien changé, l'arithmétique m'est toujours aussi pénible).

C'est un peu désuet, mais les couleurs et la mise en scène sont charming !

Ces petites merveilles proviennent de chez Dover, qu'on connaît plus à cause de Michel, qui nous a fait croire que nous serions tous des Barbedor en puissance en regardant celui-ci. On notera, contrairement à ce qu'on vient de parler dire, que le redesign de cette collection, est complètement waou.

Composé par Pauline @ 11:50 AM :: (8) comments

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